Petites notes de musique

 

En ce mois de septembre le temps s’effrite.

 La création bouillonne. 

Le corps est aux prises avec la parole.

Les heures d’affliction s’éparpillent en petites notes de musique. Tordues et torturantes. Elles participent tant bien que mal à la belle œuvre depuis toujours attendue, espérée et convoitée.

Tu ne peux savoir combien tu comptes pour moi.

Toi. Ma plénitude.

Rachid Daouani

Vendredi 17 septembre 2010