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Ahmed Lemsyeh à 13:44, le 11 janvier
الشاعر والكاتب المتميز عبد اللطيف اللعبي ينتمي لوطن اسمه الكون ويسكنه هو وطن " إن شاء الله " اسمه المغرب
هل تعلم أن قاضي الظل التي اشتغلت عليها في أحد المواسم المسرحية أنا أيضا لامستها ، هاأنت ترى أن عبد اللطيف يجمع مثلما تجتمع فيه هو انشغالات متعددة
تحياتي
Patricia Loughani à 14:00, le 11 janvier
Quel bel hommage rendu à un homme si merveilleux !
On ne peut que rester silencieux devant tant d'éloges !!!
Respect, cher ami, poète !
Tourolle Marie à 14:08, le 11 janvier
c'est beau à lire meme si je ne comprends pas..comme des notes d'une musique inconnue!!!
Ange-Marie Mucel à 14:21, le 11 janvier
Abdellatif Laâbi, un homme d'exception qui méritait un tel hommage.
Très tôt, avec d'autres poètes, il fonda la revue Souffles, puis avec son ami Abraham Serfaty, il est arrêté et a été emprisonné à plusieurs reprises.
Cet homme courageux méritait un tel hommage, merci Rachid.
Anne Dijon-Willame à 17:03, le 11 janvier
Je n'ai jamais lu...mais ton texte m'incite à le découvrir, ce poète.
Merci Rachid
Véronique Desnoe à 18:26, le 11 janvier
C'est vrai Ange-Marie, un hommage magnifique pour un homme exceptionnel ! Il a fondé la revue souffles où collaborèrent plusieurs écrivains remarquables et notamment Tahar Ben Jelloun.
Nicole St-germain à 18:52, le 11 janvier
Très Beau!!Magnifique hommage en poésie...
Bravo Rachid
Joelle KHOURY à 19:01, le 11 janvier
Rachid, tu parles le langage oublié. C'est beau de suivre un tel homme. Parfois, j'ai entendu une voix pareille dans ma vie et je me suis bouché les oreilles. C'est comme un chant des sirènes, un chant qui précède ton propre chant. Un chant qui te transfigure, te transmue, t'oblige à muer en te débarrassant de ton ancienne peau désormais inutile. Un chant de serpent à sonnette. Un chant venimeux qui est en même temps remède. C'est ca, tu t'es retrouvé nez à nez avec un Serpent et tu l'as suivi. Le Serpent vit dans le souterrain et mue tout le temps. Il a les propríétés de Dieu, autrement dit, il est immortel. Sa piqûre est un mal et un bien. Tu es autre, plus toi-même, un peu l'autre, un peu toi, plus toi et pas tout à fait un autre; tu deviens le monde. Tu rejoins l'universalité.
Mohammed El Qoch à 20:03, le 11 janvier
Bel hommage à un grand poète qui sait manier les mots magnifiquement!
Ariane Wolteche Daumen à 20:44, le 11 janvier
Magnique hommage à un poète nul doute aimé et admiré qu'il nous reste à découvrir grâce à toi... Tu parles avec lyrisme de celui qui n'a pu que t'inspirer par ce talent que tu loues et vénères, intarissable lorsqu'il s'agit de nous transmettre au travers de tes mot cette envie de le découvrir à notre tour. Merci Rachid.
Indira Kucuk Sorguc à 22:53, le 11 janvier
Tres beau, cher Rachid, je suis tres contente pour ton sense de poesie et resentiment. Merci beaucoup.
Anouchka-Virginie Thouvenot à 23:54, le 11 janvier
Trés joli hommage d'un poéte...à un autre! Relais des mots, tremblement des maux, infinité des sensibilités.
Ne subsiste que l'essentiel:l'éternel...
Fab Kimberlite à 00:36, le 12 janvier
Je découvre avec admiration un poète que je ne connais pas, et je crois que l'artiste est effectivement porte-paroles, révélateur des mots, des sentiments personnels ou collectifs que d'autres ne peuvent pas dire, et il arrive hélas, souvent qu'ils payent pour leurs mots, leurs idées, leur liberté ! Je vais aller le découvrir, promis !
Majdouline Benkhraba à 19:19, le 12 janvier
Hommage à ce grand poète qui garde toujours ses principes.
ça me rappelle les bons moments du théâtre, les répétitions et la montée sur scène. Merci Rachid.
Commentaires
Ahmed Lemsyeh à 13:44, le 11 janvier
الشاعر والكاتب المتميز عبد اللطيف اللعبي ينتمي لوطن اسمه الكون ويسكنه هو وطن " إن شاء الله " اسمه المغرب
هل تعلم أن قاضي الظل التي اشتغلت عليها في أحد المواسم المسرحية أنا أيضا لامستها ، هاأنت ترى أن عبد اللطيف يجمع مثلما تجتمع فيه هو انشغالات متعددة
تحياتي
Patricia Loughani à 14:00, le 11 janvier
Quel bel hommage rendu à un homme si merveilleux !
On ne peut que rester silencieux devant tant d'éloges !!!
Respect, cher ami, poète !
Tourolle Marie à 14:08, le 11 janvier
c'est beau à lire meme si je ne comprends pas..comme des notes d'une musique inconnue!!!
Ange-Marie Mucel à 14:21, le 11 janvier
Abdellatif Laâbi, un homme d'exception qui méritait un tel hommage.
Très tôt, avec d'autres poètes, il fonda la revue Souffles, puis avec son ami Abraham Serfaty, il est arrêté et a été emprisonné à plusieurs reprises.
Cet homme courageux méritait un tel hommage, merci Rachid.
Anne Dijon-Willame à 17:03, le 11 janvier
Je n'ai jamais lu...mais ton texte m'incite à le découvrir, ce poète.
Merci Rachid
Véronique Desnoe à 18:26, le 11 janvier
C'est vrai Ange-Marie, un hommage magnifique pour un homme exceptionnel ! Il a fondé la revue souffles où collaborèrent plusieurs écrivains remarquables et notamment Tahar Ben Jelloun.
Nicole St-germain à 18:52, le 11 janvier
Très Beau!!Magnifique hommage en poésie...
Bravo Rachid
Joelle KHOURY à 19:01, le 11 janvier
Rachid, tu parles le langage oublié. C'est beau de suivre un tel homme. Parfois, j'ai entendu une voix pareille dans ma vie et je me suis bouché les oreilles. C'est comme un chant des sirènes, un chant qui précède ton propre chant. Un chant qui te transfigure, te transmue, t'oblige à muer en te débarrassant de ton ancienne peau désormais inutile. Un chant de serpent à sonnette. Un chant venimeux qui est en même temps remède. C'est ca, tu t'es retrouvé nez à nez avec un Serpent et tu l'as suivi. Le Serpent vit dans le souterrain et mue tout le temps. Il a les propríétés de Dieu, autrement dit, il est immortel. Sa piqûre est un mal et un bien. Tu es autre, plus toi-même, un peu l'autre, un peu toi, plus toi et pas tout à fait un autre; tu deviens le monde. Tu rejoins l'universalité.
Mohammed El Qoch à 20:03, le 11 janvier
Bel hommage à un grand poète qui sait manier les mots magnifiquement!
Ariane Wolteche Daumen à 20:44, le 11 janvier
Magnique hommage à un poète nul doute aimé et admiré qu'il nous reste à découvrir grâce à toi... Tu parles avec lyrisme de celui qui n'a pu que t'inspirer par ce talent que tu loues et vénères, intarissable lorsqu'il s'agit de nous transmettre au travers de tes mot cette envie de le découvrir à notre tour. Merci Rachid.
Indira Kucuk Sorguc à 22:53, le 11 janvier
Tres beau, cher Rachid, je suis tres contente pour ton sense de poesie et resentiment. Merci beaucoup.
Anouchka-Virginie Thouvenot à 23:54, le 11 janvier
Trés joli hommage d'un poéte...à un autre! Relais des mots, tremblement des maux, infinité des sensibilités.
Ne subsiste que l'essentiel:l'éternel...
Fab Kimberlite à 00:36, le 12 janvier
Je découvre avec admiration un poète que je ne connais pas, et je crois que l'artiste est effectivement porte-paroles, révélateur des mots, des sentiments personnels ou collectifs que d'autres ne peuvent pas dire, et il arrive hélas, souvent qu'ils payent pour leurs mots, leurs idées, leur liberté ! Je vais aller le découvrir, promis !
Majdouline Benkhraba à 19:19, le 12 janvier
Hommage à ce grand poète qui garde toujours ses principes.
ça me rappelle les bons moments du théâtre, les répétitions et la montée sur scène. Merci Rachid.