béton et bitume
« J’ai entrevu se profiler cette lumière qui bat pavillon
Contre l'usure du temps
A travers Spartel Le cap et la trismegiste empreinte d'Hercule
devant leurs ombres titillées par l'onde salée et alanguie
Le béton et le bitume
Crient haro sur le détroit
Les ombres hideuses sans scrupules viennent à la rescousse
Les êtres passent et repassent
déférence et amnésie obstruent l'horizon
D'aucuns ne se rendent à l'évidence
Humera-t-on cette ondée qui ne trempe que le sable ...»
Rachid Daouani
le 7 Juin 2012, après mon retour de Tanger
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